COMES 66

COMES 66

INFOS HAMEAU


LES METAIRIES ISOLEES DE COMES

LES METAIRIES ISOLEES DE COMES

 

Il existait rattachées au hameau de Comes deux métairies que sont :

La métairie Fontaine d’ORRY et

La métairie dels ESTANILS

On en retrouve la trace dans les recensements où sont mentionnés les habitants des deux métairies.

Pour la métairie Fontaine d’Orry elle apparaît spécifiquement dans le recensement de 1886, antérieurement et depuis 1841, 1er recensement, les métairies ne sont pas spécifiquement mentionnées, ce n’est que sur le recensement de 1886 que l’on mentionne bien les métairies isolées de Comes.

Cette métairie est occupée par la famille Jean Four chef cantonnier, époux d’Antoinette Garriguet.

Ils ont eu 4 enfants : Jean né en 1865 décédé en 1892, il habitait Sournia mais il est décédé chez ses parents.

Marie Anna née en 1867 elle a épousé Jean Baptiste Deles de Sournia, cette famille a un lien avec la famille Argelès (voir lettre sur le blog onglet Histoire de la famille Argelès).

Auguste né en 1871 décédé en 1885 à l’âge de 14 ans

Ernest né en 1877 décédé en 1893 à l’âge de 16 ans.

A noter une erreur sur le recensement de 1901, où il est écrit Fourc

Lors du recensement de 1906 cette métairie n’apparaît plus.

Il existe un vestige de la fontaine, voir photo.

Pour la métairie dels Estanils on retrouve sa trace dès 1856. Occupée par la famille Baillette, qui fut une famille importante de la région.

On la retrouve sur tous les recensements jusqu’en 1906 ou la métairie est occupée par la famille Fourquet-Vidal d’Eus avec leurs 6 enfants. Cette métairie est actuellement en ruine, comme on peut le constater sur une photo prise récemment par un groupe de volontaires accompagnés d’agents de la mairie afin de vérifier l’état des sources.

C’est effectivement un sujet préoccupant puisque c’est la sécheresse qui a contraint les habitants de Comes d’abandonner le hameau.

Vue de COMES de la métairie

 

Pour toutes informations complémentaires vous pouvez me contacter sur ce blog afin de complèter les articles. Vous pouvez également vous inscrire facilement sur le blog.

Robert RIVES

 


23/04/2024
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MELISSA DA COSTA A COMES

L'autrice à succès MELISSA DA COSTA, notamment pour son livre TOUT LE BLEU DU CIEL qui se passe en partie à Eus en citant Comes, a séjourné à Eus où elle pu converser avec les habitants et les lecteurs.

Nous avons pu faire dédicacer son livre, que je conseille fortement tant l’histoire est captivante et émouvante.

La fierté pour nous fut sa visite de Comes.

 


02/09/2022
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UN ROMAN PASSIONNANT QUI PARLE DE COMES

Le hasard, une surprise, comment imaginer qu’un roman puisse parler de COMES ?

Car qui connaît Comes ?

Bien sûr les habitants d’EUS, même si tous ne sont montés vers ce hameau, quelques personnes à Prades, Perpignan et quelques villages voisins, mais surtout les descendants des familles qui ont habité Comes.

Ce roman suit un itinéraire qui passe par Eus, les héros y séjournent quelques semaines pour s’y marier, c’est à cette occasion que le mari va gravir les pentes menant au hameau.

On pardonnera l’auteure d’avoir mis un accent circonflexe sur le o de Comes, mais il faut dire, puisque je l’ai contacté pour savoir si elle avait un quelconque lien avec Comes, qu’elle n’est jamais venue dans la région, le livre ayant été écrit par de nombreuses recherches sur les Pyrénées.

La description d’EUS et de ses habitants est incroyable de vérité, pour Comes nous n’avons droit qu’à des ruines et une église.

Je vous invite à lire ce livre extrêmement émouvant.

 


22/08/2022
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COUVRE-FEU A COMES

COUVRE-FEU A COMES

En cette période de pandémie et de couvre-feu qui s’étend à toutes les Pyrénées-Orientales, on peut s’interroger sur l’opportunité d’une telle mesure dans notre petit hameau.
Un habitant, un village abandonné depuis près d’un siècle, ventilé par une tramontane assez fréquente, il paraît quelque peu dérisoire de rendre le masque obligatoire et de contraindre le berger à se confiner dans son mobile home à partir de 21 heures.
Néanmoins en cette période de vacances scolaires, si vous décidiez de faire un saut à Comes, n’oubliez pas votre masque, les gestes barrières, votre gel, votre application covid, on ne sait jamais.
Il serait regrettable que vous soyez cas-contact, contraint de faire un test, dont on espère qu’il sera négatif.
Peut-être aussi, que très prochainement, nous apprenions que le couvre-feu démarre à 19 heures et que le hameau est confiné le week-end.
Il n’est pas sûr que la gendarmerie de Prades aille vérifier le confinement, mais après tout une promenade bucolique n’est pas impossible.
Comme tous ceux qui se passionnent pour la généalogie ou pour l’histoire de nos territoires en pensant à nos ancêtres qui ont vécu dans ce village dans des conditions certainement difficiles, il est bon pour la postérité de laisser une trace de ce que nous sommes contraints de vivre.

COUVRE-FEU A COMES

En cette période de pandémie et de couvre-feu qui s’étend à toutes les Pyrénées-Orientales, on peut s’interroger sur l’opportunité d’une telle mesure dans notre petit hameau.
Un habitant, un village abandonné depuis près d’un siècle, ventilé par une tramontane assez fréquente, il paraît quelque peu dérisoire de rendre le masque obligatoire et de contraindre le berger à se confiner dans son mobile home à partir de 21 heures.
Néanmoins en cette période de vacances scolaires, si vous décidiez de faire un saut à Comes, n’oubliez pas votre masque, les gestes barrières, votre gel, votre application covid, on ne sait jamais.
Il serait regrettable que vous soyez cas-contact, contraint de faire un test, dont on espère qu’il sera négatif.
Peut-être aussi, que très prochainement, nous apprenions que le couvre-feu démarre à 19 heures et que le hameau est confiné le week-end.
Il n’est pas sûr que la gendarmerie de Prades aille vérifier le confinement, mais après tout une promenade bucolique n’est pas impossible.
Comme tous ceux qui se passionnent pour la généalogie ou pour l’histoire de nos territoires en pensant à nos ancêtres qui ont vécu dans ce village dans des conditions certainement difficiles, il est bon pour la postérité de laisser une trace de ce que nous sommes contraints de vivre.


27/10/2020
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